Je vous révèle un tout nouvel encart qui va allonger notre revue de presse sur « l’automobile ».
Son titre suggestif (Gel de la taxe sur la bière en Ontario : des microbrasseurs s’en réjouissent) en dit long.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», le journaliste est reconnu comme quelqu’un de sérieux pour plusieurs autres papiers qu’il a publiés sur le web.
Vous pouvez par conséquent faire confiance aux informations qu’il publie.
La date d’édition est 2024-02-09 18:06:00.
Voilà ll’article :
La taxe sur la bière sera gelée jusqu’en mars 2026. C’est ce qu’a annoncé le gouvernement de l’Ontario par communiqué vendredi.
Une augmentation indexée à l’inflation est prévue chaque année. Selon le communiqué, cette taxe devait augmenter d’environ 4,6% le 1er mars.
Notre gouvernement recherche constamment des moyens de rendre la vie plus abordable pour les familles de l’Ontario
, a indiqué Doug Ford dans le communiqué. Son gouvernement n’a pas augmenté cette taxe depuis sa prise de pouvoir en 2018.
Certains microbrasseurs ontariens se disent satisfaits de cette annonce et demandent d’autres allégements fiscaux.
La taxe sur le contenant dans le viseur
C’est une très bonne nouvelle pour Great Lakes Brewery
, se félicite Peter Bulut, président et fondateur de la microbrasserie torontoise.
On salue les efforts que le gouvernement fait, mais on attend d’autres annonces sur des taxes « punitives » qu’il a promis de réformer pour nous.
Il fait référence à la taxe écologique de 8,93 sous imposée sur chaque contenant à remplissage unique dans lequel est achetée de la bière.
Peter Bulut de la brasserie Great Lakes aimerait que d’autres taxes ontariennes soient revues à la baisse.
Photo : Radio-Canada
Le site du gouvernement affiche que depuis 2018, les taxes ontariennes sont respectivement de 89,74 ¢/L (bière pression) et 72,45 ¢/L (bière non-pression) pour les fabricants de bière et de 35,96 ¢/L et 39,75 ¢/L pour les microbrasseries.
Stabilité nécessaire
Le président de la Chambre de commerce de l’Ontario, Daniel Tisch, applaudit la décision
qui apportera une stabilité nécessaire pour les brasseries et le secteur de l’hôtellerie-restauration
.
Eric Portelance, cofondateur de la brasserie Slake Brewing, qui se trouve dans le comté de Prince Edward, estime aussi que c’est le minimum que le gouvernement doit faire
.
Comme Peter Bulut, il demande d’aller plus loin
et réduire les taxes sur les plus petites microbrasseries de l’Ontario
, en particulier celle sur les canettes.
On n’a pas la capacité d’augmenter nos prix
, ajoute-t-il, citant des raisons de compétitivité.
En revanche, tous les coûts ont augmenté ces dernières années
, soutient-il, que ce soit les frais de transport, les matériaux ou la main-d’œuvre.
Le cidre non-concerné mais plein d’espoir
Ce gel de taxe ne concerne pas les cidreries, qui sont catégorisées comme du vin, car il s’agit d’un fruit fermenté, selon Janice Ruddock, la directrice exécutive de l’Ontario Craft Cider Association.
On est content pour eux, on continue de travailler sur nos sujets spécifiques et une taxation juste.
Cette nouvelle a plutôt tendance à l’encourager. On voit qu’on peut y arriver, cela renouvelle notre énergie
, ajoute-t-elle.
Avec les informations de Jérémie Bergeron
Bibliographie :
Brasage,Ouvrage . A emprunter en bibliothèque.
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Master Industrie Automobile,Le livre .
Une autre histoire de l’automobile,Le livre . Ouvrage de référence.